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 ♣ CONTEXTE

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AuteurMessage
Alice Juarez-Rodrigez
    AÄGRID ♣ « I don't wanna close my eyes »

Alice Juarez-Rodrigez

◊ messages : 856

♣ let's get crazy
ton petit truc en plus: schizophrène, suicidaire et dépressive, elle a tué ses parents à coup de poignard après avoir regardé Amytiville
tes petits copains fous:

♣ CONTEXTE _
MessageSujet: ♣ CONTEXTE   ♣ CONTEXTE Icon_minitimeMar 20 Avr - 16:49

C'EST QUOI CTE BANDE DE OUFS ?!


♣ CONTEXTE B48
(c) livejournal.

    C’était en 1987. Dolores Maria Amador, jeune femme espagnole et psychologue pour adolescents, décida d’ouvrir un pensionnat dans la belle ville de Barcelone pour y accueillir des jeunes du monde entier ayant une dépendance quelconque, un problème mental, un certain handicape ou tout simplement étant tellement friqués qu’ils en oublient les principales qualités qui forment le respect. A croire que la dame avait vraiment la foi. Parce qu'après tout, gérer des adolescents est déjà quelque chose de difficile, alors n'en parlons plus s'ils se mettent à avoir des problèmes en tous genres. L'autre schyzo' accusé du meurtre de son ex petit-ami, l'autre dépendant aux perruques, et enfin, la dernière, incapable de ne pas utiliser sa carte de crédit moins de trente-six fois par jour. Autant vous dire que le projet attira les foules. Incroyable le nombre de cas spéciaux qu'il pouvait avoir en Espagne. Tous plus dérangés les uns que les autres, ou alors, dévorés par leur fortune. Il fallait donc agir, et vite. Voyant que tout cela prenait une bonne amplitude, Señora Amador ouvrit les portes de son pensionnat aux autres nations. De tous les coins il en arrivait. Et ouais, encore plus fort qu'une attaque massive de chocapic.

    Citation :
    « Pour la quarante-quatrième fois, Jude, es-tu certaine que tu n'as pas volé le cochonnet de Myriam ? » « Un cochonnet tirelire madame, un cochonnet tirelire. » « Oui oui, un cochonnet tirelire. (...) Alors Jude,tu ... Quoi !? Myriam, tu as emmené ton cochonnet tirelire ? » La jeune fille baissa la tête, puis releva simplement les yeux, acquiesçant comme une petite qui aurait fait une bêtise. « Mais c'est pas possible ! Tu sais très bien que tu n'as pas le droit de garder des choses qui te rappellent ta dépendance à l'argent. » « Même pas les photos de mes robes Chanel ? » « Bien sûr que non ! Mais qui m'a foutu des gosses pareils ... *on cogne à la porte* Oui, entrez ! » Un homme, plus classe tu meurs, entra dans le bureau, tenant un jeune homme par le bras. « J'ai trouvé Monsieur Rogriguez et Mademoiselle Dufour ensemble, dans les couloirs, hier soir, en pleine nuit. » « Mais monsieur, c'est Alice, elle est accro à la lumière, alors on s'est dit qu'on se verrait la nuit, ct'une bonne thérapie, croyez-moi. » Le psychologue lui tapa sur la tête à l'aide d'un magasine, un peu à la Rogue dans Harry Potter, avant de lui demander de sortir, ainsi que les deux filles accro au shopping. Une fois tout le monde dehors, le fameux psychologue et la directrice devinrent deux personnes tout à fait différentes. Ceux que l'on croyait représenter l'autorité 'parentale' se voyaient en réalité, en cachette, comme de jeunes adolescents. Pitoyable me direz-vous ? Hum, et bien oui, probablement. Il se jeta sur elle, tandis qu'elle lui rendait son fougueux baiser, avant d'entendre depuis le haut-parleur posé sur le bureau. « MADAME, MADAME, Y A LE FEUUUUU ! Marvin a pas réussi à tenir son pari, et il s'est grillé une cigarette juste à côté de la buanderie, et paf, Y A LE FEUUUU ! » Soupirant, les deux adultes se dirent au revoir à leur façon, avant que madame la dirlo' n'entre en piste. C'était tous les jours pareil au pensionnat Amador.

    Et trente ans que ça dure. La brillante Dolores a laissé gentiment sa place à sa tante, Madame Amador -on ne change pas les bonnes habitudes-, un peu plus âgée, mais tout aussi compétente. La discipline et le bon fonctionnement de ce pensionnat sont entre ses mains. Surtout que des centaines de jeunes, venus des quatre coins de la planète, envoyés par leurs parents, ou même venus de plein gré, sont ici, et qui dit cultures différentes dit problèmes supplémentaires. Ce pourquoi, dernièrement, le règlement a légèrement été assoupli. En effet, les pensionnaires ont le droit de se rendre dans la belle ville de Barcelone, à condition de garder leurs belles petites bouches fermées. Ils ne doivent en aucun cas divulguer les secrets de la thérapie mes amis, en aucun cas. Et s'ils suivent cette règle, il n'y aura aucun problème. En tout cas, que vous soyez fous, un peu hors-normes, ou dépendants de je ne sais quoi, le pensionnat Amador est fait pour VOUS.


(c) contexte entièrement rédigé par GODDESS (A. Bonnie Warren), pour Other Horizons.
sur une idée originale de Sunny (G. Iseult Pochat)
so don't touch.
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